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dimanche 9 février 2014

Libourne : les mêmes élus aux manettes !

Haro sur la liste proposée par le maire : Sur 35 candidats que comporte une liste pour les municipales à Libourne, 18 noms figuraient déjà en 2008...Donc loin des 50% de changement prévu et promis par Philippe Buisson.

Ce seront encore les même adjoints que l'on retrouvera avec 2 changements pour remplacer Dominique Lemoine-Lapaire (patrimoine) partie car terriblement déçue par l'absence de transparence et le manque de démocratie locale, et Jean-Marie Martens l'adjoint aux finances qui prend sa retraite promise dès 2011.

Avec Messieurs Rousset, Arcaraz, Galand, et probablement Sirdey qui prendra la place de Martens, et  Pouzargue, Venayres, Hardy, Bernadeau, et sans doute Laurence Rouède (ancienne responsable de cabinet ayant suivi Gilbert Mitterrand à la CALI) prenant là aussi une place d'adjointe pour les dames, la ville de Libourne restera fidèle à M.Buisson ! 
Pas de changement donc mais avec Hollande nous y sommes habitués : pas de changement dans la rupture, une belle continuité ! La gestion de la ville telle qu'elle est aujourd’hui est bien assurée !
Le pouvoir est confié aux mains des mêmes à 80% .

Un parti de cumulards ! 59% entameront vaille que vaille le 3ème, 4ème, 5ème voire 6ème mandat ( 2 entament leur 3ème mandat, 5 leur 4ème, 1 son 5ème et 2 leur 6ème...

Que dire de la représentation politique ! 3 places au PCF ! (il me semble que le PCF avaient demandé 5 postes)  loin de la représentation réelle selon les scores ! Ce sont ceux qui distribuent en même temps que le programme de Philippe Buisson,  -certes un peu honteusement et en douce-  le fameux "Chiffon Rouge" ce petit canard PCF qui vilipende « la politique d'austérité », "le MEDEF et son soutien aux défenseurs locaux de l'ANI destructeur du code du travail, le travail de sape du Parti Socialiste et de notre président Hollande". On se demande s'ils n'ont pas des crampes un peu mal placées, ces élus/candidats du PCF à force de faire le grand écart...mais ils s'accrochent à leur poste comme la moule à son rocher.

La représentation du MRC est largement sur-estimé avec 2 postes :  Avec un élu de la République, Patrick Nivet le gifleur de femme qui avait été contraint en 2012 de retirer sa candidature aux élections législatives....

EELV y est représenté avec 2 dissidents sans dossards qui se présentent sur la liste PS alors que le comité local d'EELV  avait voté à 74% en faveur de la liste LIB.RES. 
Le logo EELV revient bien sûr à LIB.R.E.S.
Joël Rousset repart donc pour son 4ème mandat avec une inconnue dans les rangs EELV qui n'était venue que pour conforter Rousset dans le choix de rester avec le PS et qui du même coup se retrouve à ses côtés...chargée de mission à la Région pour le groupe EELV, c'est Philippe Buisson, conseiller Régional, qui l'a ramené dans son écurie. 
Il pourra s'assurer ses services sans aucune opposition ! Employée par la Région et élue à la mairie, sa marge d'expression sera bien verrouillée !
Isabelle Hardy, Michel Galand, Gilbert Mitterrand, Patrick Nivet, Catherine Bernadeau, ne sont même pas résidents à Libourne. Location de garage pour certains, parc immobilier pour  d'autres...

Pour ceux qui ont déjà fait un mandat :
41% entame leur 2ème mandat ce qui veut dire que 59% font leur 3èm, 4èm, 5èm voire 6ème mandat ( 2 entament leur 3èm mandat, 5 leur 4èm, 1 son 5èm et 2 leur 6èm, si je ne me suis pas trompée).
L'âge moyen est de 51 ans, ramené à 45 ans pour les nouveaux et majoré à 57 ans pour les anciens.
Représentation politique : PS : 18
Société Civile : 8 dont une prise de guerre du PS à Alterlib' !
Société civile déguisée : 2 (deux d'entre eux l'ont été encore il y a peu de temps)

Décidément le vrai changement, la véritable ambition pour Libourne c'est le Partage Ambitieux -et non une ambition partagée !- avec les citoyens que nous proposons avec LIB.R.E.S, LIBournais pour un Rassemblement Écologique et Social !



dimanche 2 février 2014

Tes lois dans mon utérus...

Anti-IVG, euthanasie ou mariage pour tous, le retour des catholiques conservateurs.
 En France les intégristes de toutes les religions sont à l'offensive et les droits des femmes, dont le droit à l'IVG, sont leurs premières cibles. 

Les anti-avortement sont principalement composés de mouvements proches des milieux catholiques les plus conservateurs. Ils sont soutenus par une partie de l’opposition de droite et par l’extrême-droite. Ce sont les mêmes qui ont manifestés contre le mariage homosexuel et la procréation médicalement assistée. Ils sont aussi décidés à donner de la voix dans le débat à venir sur l’euthanasie. 

En bref, ils veulent se faire entendre sur toutes les questions éthiques.
Plusieurs milliers de militants anti-avortement ont défilé, dimanche 2 février à Paris et à Lyon. Le pape François a apporté son soutien à cette marche. Plusieurs évêques y ont participé. Ces manifestants souvent venus en famille, parfois avec de très jeunes enfants, ont salué l’exemple espagnol. Car, en Espagne, à la suite de la pression des milieux catholiques, le gouvernement a proposé de quasiment supprimer le droit à l'avortement.
Par ailleurs, Rajoy, non content que son projet aboutisse en Espagne, souhaite faire de son pays le fer de lance d’une croisade européenne contre le droit à l’avortement. A l’heure où les réactionnaires et les politiques d’austérité mettent en danger ce droit partout en Europe , où en Suisse un référendum aura lieu le 09 février pour dérembourser l’avortement, où en Italie 80% des médecins profitent de la clause de conscience pour ne pas pratiquer l’IVG...
La France de son côté, a fait un pas en avant en retirant la notion de détresse concernant l’avortement dans la loi sur l’égalité. Toutefois, cela ne saurait masquer les attaques sans précédent dont est victime notre système de santé. Les politiques de restrictions budgétaires appliquées à l’hôpital public, autant par la droite que par le gouvernement actuel, ont conduit à la fermeture de plus d’une centaine de centres IVG ces dernières années. Les délais d’attente dans certaines régions sont encore trop longs obligeant encore toujours plus de femmes à partir à l’étranger.

Par ailleurs, Rajoy, non content que son projet aboutisse en Espagne, souhaite faire de son pays le fer de lance d’une croisade européenne contre le droit à l’avortement. A l’heure où les réactionnaires et les politiques d’austérité mettent en danger ce droit partout en Europe , où en Suisse un reférendum aura lieu le 09 février pour dérembourser l’avortement, où en Italie 80% des médecins profitent de la clause de conscience pour ne pas pratiquer l’IVG, le Parti de Gauche appelle à une mobilisation massive au côté des associations féministes. - See more at: http://www.lepartidegauche.fr/actualites/communique/soutien-espagnoles-austerite-les-reacs-nuisent-gravement-l-ivg-26711#sthash.I1euOBM7.dpuf
Véritable recul historique en Espagne qui risque de gagner toute l'Europe...
Le projet de loi du gouvernement conservateur de Mario Rajoy prévoit d'interdire l'accès à l'avortement. Il existe deux exceptions: en cas de viol ayant fait l'objet d'une plainte et en cas de danger physique ou psychique pour la femme. Ce texte devrait arriver au parlement dans les prochains mois.
Les associations féministes, les professionnels de la planification familiale, et les partis de gauche, ont parlé d’un retour en arrière de 30 ans. Pourtant, l’Espagne avait marqué de nombreuses avancées sur les questions de société: la lutte contre le fléau de la violence conjugale, la parité homme-femme ou le mariage homosexuel. Mais, c’était à l’époque du précédent gouvernement dirigé par le socialiste José Luis Zapatero. Aujourd’hui, les conservateurs au pouvoir, poussés par les catholiques conservateurs, opèrent un virage à 180 degrés. Un revirement guidé par des raisons électorales avant les élections européennes.

Le cas de l’Espagne montre qu’aucun droit n’est acquis. Les avancées sur les questions de société ont radicalisé une partie des milieux les plus conservateurs. Dans le cas de l’avortement, les opposants avancent des raisons dogmatiques, parlant de "droit à la vie". Ça se remarque notamment dans le discours des très jeunes manifestants anti-IVG, qui crient des slogans, sans toujours les comprendre. C’est pourtant oublier une réalité. Celle des droits individuels. Et, précisément de la liberté des femmes à faire un choix.
VIGILANCE
Le projet de loi du premier ministre espagnol, validé par son gouvernement et vraisemblablement présenté à l’assemblée en juillet représente un considérable retour en arrière en matière de droit à l’avortement. Cette nouvelle loi reviendrait de fait à interdire l’interruption volontaire de grossesse exceptée en cas de viol. - See more at: http://www.lepartidegauche.fr/actualites/communique/soutien-espagnoles-austerite-les-reacs-nuisent-gravement-l-ivg-26711#sthash.pOv67dlU.dpuf
Le projet de loi du premier ministre espagnol, validé par son gouvernement et vraisemblablement présenté à l’assemblée en juillet représente un considérable retour en arrière en matière de droit à l’avortement. Cette nouvelle loi reviendrait de fait à interdire l’interruption volontaire de grossesse exceptée en cas de viol.
Par ailleurs, Rajoy, non content que son projet aboutisse en Espagne, souhaite faire de son pays le fer de lance d’une croisade européenne contre le droit à l’avortement. A l’heure où les réactionnaires et les politiques d’austérité mettent en danger ce droit partout en Europe , où en Suisse un reférendum aura lieu le 09 février pour dérembourser l’avortement, où en Italie 80% des médecins profitent de la clause de conscience pour ne pas pratiquer l’IVG, le Parti de Gauche appelle à une mobilisation massive au côté des associations féministes.
Comment faut-il redire que restreindre le droit à l’avortement ne réduit pas le nombre d’avortements mais seulement les avortements sûrs ! Alors que les anti-choix font semblant de s’émouvoir de la vie, savent-ils que leurs idées rétrogrades provoquent la mort d’une femme toutes les neuf minutes dans le monde ? Les femmes ont toujours eu et auront toujours recours à l’avortement tout simplement parce qu’il s’agit de leur droit à maîtriser leur corps et donc leur vie.
La France de son côté, a fait un pas en avant en retirant la notion de détresse concernant l’avortement dans la loi sur l’égalité. Toutefois, cela ne saurait masquer les attaques sans précédent dont est victime notre système de santé. Les politiques de restrictions budgétaires appliquées à l’hôpital public, autant par la droite que par le gouvernement actuel, ont conduit à la fermeture de plus d’une centaine de centres IVG ces dernières années. Les délais d’attente dans certaines régions sont encore trop longs obligeant encore toujours plus de femmes à partir à l’étranger.
Le Parti de Gauche revendique donc un droit à l’avortement assuré comme un droit fondamental des droits humains et assuré à ce titre par l’Union Européenne. Nous revendiquons également des politiques publiques en accord avec ce droit et la possibilité matérielle d’y avoir recours.
C’est pour porter ces revendications et montrer notre solidarité aux femmes espagnoles que le Parti de Gauche sera dans la rue en ce 1er Février dans l’ensemble des villes de France où s’organisent des rassemblements.
A Paris, Danielle Simonnet, candidate du Front de gauche aux élections municipales,de même que les tetes de liste des arrondissements seront présents, ainsi que Martine Billard, co-présidente du Parti de Gauche et ex-députée.
- See more at: http://www.lepartidegauche.fr/actualites/communique/soutien-espagnoles-austerite-les-reacs-nuisent-gravement-l-ivg-26711#sthash.pOv67dlU.dpuf

Le projet de loi du premier ministre espagnol, validé par son gouvernement et vraisemblablement présenté à l’assemblée en juillet représente un considérable retour en arrière en matière de droit à l’avortement. Cette nouvelle loi reviendrait de fait à interdire l’interruption volontaire de grossesse exceptée en cas de viol.
Par ailleurs, Rajoy, non content que son projet aboutisse en Espagne, souhaite faire de son pays le fer de lance d’une croisade européenne contre le droit à l’avortement. A l’heure où les réactionnaires et les politiques d’austérité mettent en danger ce droit partout en Europe , où en Suisse un reférendum aura lieu le 09 février pour dérembourser l’avortement, où en Italie 80% des médecins profitent de la clause de conscience pour ne pas pratiquer l’IVG, le Parti de Gauche appelle à une mobilisation massive au côté des associations féministes.
Comment faut-il redire que restreindre le droit à l’avortement ne réduit pas le nombre d’avortements mais seulement les avortements sûrs ! Alors que les anti-choix font semblant de s’émouvoir de la vie, savent-ils que leurs idées rétrogrades provoquent la mort d’une femme toutes les neuf minutes dans le monde ? Les femmes ont toujours eu et auront toujours recours à l’avortement tout simplement parce qu’il s’agit de leur droit à maîtriser leur corps et donc leur vie.
La France de son côté, a fait un pas en avant en retirant la notion de détresse concernant l’avortement dans la loi sur l’égalité. Toutefois, cela ne saurait masquer les attaques sans précédent dont est victime notre système de santé. Les politiques de restrictions budgétaires appliquées à l’hôpital public, autant par la droite que par le gouvernement actuel, ont conduit à la fermeture de plus d’une centaine de centres IVG ces dernières années. Les délais d’attente dans certaines régions sont encore trop longs obligeant encore toujours plus de femmes à partir à l’étranger.
Le Parti de Gauche revendique donc un droit à l’avortement assuré comme un droit fondamental des droits humains et assuré à ce titre par l’Union Européenne. Nous revendiquons également des politiques publiques en accord avec ce droit et la possibilité matérielle d’y avoir recours.
- See more at: http://www.lepartidegauche.fr/actualites/communique/soutien-espagnoles-austerite-les-reacs-nuisent-gravement-l-ivg-26711#sthash.I1euOBM7.dpuf
Le projet de loi du premier ministre espagnol, validé par son gouvernement et vraisemblablement présenté à l’assemblée en juillet représente un considérable retour en arrière en matière de droit à l’avortement. Cette nouvelle loi reviendrait de fait à interdire l’interruption volontaire de grossesse exceptée en cas de viol.
Par ailleurs, Rajoy, non content que son projet aboutisse en Espagne, souhaite faire de son pays le fer de lance d’une croisade européenne contre le droit à l’avortement. A l’heure où les réactionnaires et les politiques d’austérité mettent en danger ce droit partout en Europe , où en Suisse un reférendum aura lieu le 09 février pour dérembourser l’avortement, où en Italie 80% des médecins profitent de la clause de conscience pour ne pas pratiquer l’IVG, le Parti de Gauche appelle à une mobilisation massive au côté des associations féministes.
Comment faut-il redire que restreindre le droit à l’avortement ne réduit pas le nombre d’avortements mais seulement les avortements sûrs ! Alors que les anti-choix font semblant de s’émouvoir de la vie, savent-ils que leurs idées rétrogrades provoquent la mort d’une femme toutes les neuf minutes dans le monde ? Les femmes ont toujours eu et auront toujours recours à l’avortement tout simplement parce qu’il s’agit de leur droit à maîtriser leur corps et donc leur vie.
La France de son côté, a fait un pas en avant en retirant la notion de détresse concernant l’avortement dans la loi sur l’égalité. Toutefois, cela ne saurait masquer les attaques sans précédent dont est victime notre système de santé. Les politiques de restrictions budgétaires appliquées à l’hôpital public, autant par la droite que par le gouvernement actuel, ont conduit à la fermeture de plus d’une centaine de centres IVG ces dernières années. Les délais d’attente dans certaines régions sont encore trop longs obligeant encore toujours plus de femmes à partir à l’étranger.
Le Parti de Gauche revendique donc un droit à l’avortement assuré comme un droit fondamental des droits humains et assuré à ce titre par l’Union Européenne. Nous revendiquons également des politiques publiques en accord avec ce droit et la possibilité matérielle d’y avoir recours.
C’est pour porter ces revendications et montrer notre solidarité aux femmes espagnoles que le Parti de Gauche sera dans la rue en ce 1er Février dans l’ensemble des villes de France où s’organisent des rassemblements.
A Paris, Danielle Simonnet, candidate du Front de gauche aux élections municipales,de même que les tetes de liste des arrondissements seront présents, ainsi que Martine Billard, co-présidente du Parti de Gauche et ex-députée.
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Le projet de loi du premier ministre espagnol, validé par son gouvernement et vraisemblablement présenté à l’assemblée en juillet représente un considérable retour en arrière en matière de droit à l’avortement. Cette nouvelle loi reviendrait de fait à interdire l’interruption volontaire de grossesse exceptée en cas de viol.
Par ailleurs, Rajoy, non content que son projet aboutisse en Espagne, souhaite faire de son pays le fer de lance d’une croisade européenne contre le droit à l’avortement. A l’heure où les réactionnaires et les politiques d’austérité mettent en danger ce droit partout en Europe , où en Suisse un reférendum aura lieu le 09 février pour dérembourser l’avortement, où en Italie 80% des médecins profitent de la clause de conscience pour ne pas pratiquer l’IVG, le Parti de Gauche appelle à une mobilisation massive au côté des associations féministes.
Comment faut-il redire que restreindre le droit à l’avortement ne réduit pas le nombre d’avortements mais seulement les avortements sûrs ! Alors que les anti-choix font semblant de s’émouvoir de la vie, savent-ils que leurs idées rétrogrades provoquent la mort d’une femme toutes les neuf minutes dans le monde ? Les femmes ont toujours eu et auront toujours recours à l’avortement tout simplement parce qu’il s’agit de leur droit à maîtriser leur corps et donc leur vie.
La France de son côté, a fait un pas en avant en retirant la notion de détresse concernant l’avortement dans la loi sur l’égalité. Toutefois, cela ne saurait masquer les attaques sans précédent dont est victime notre système de santé. Les politiques de restrictions budgétaires appliquées à l’hôpital public, autant par la droite que par le gouvernement actuel, ont conduit à la fermeture de plus d’une centaine de centres IVG ces dernières années. Les délais d’attente dans certaines régions sont encore trop longs obligeant encore toujours plus de femmes à partir à l’étranger.
Le Parti de Gauche revendique donc un droit à l’avortement assuré comme un droit fondamental des droits humains et assuré à ce titre par l’Union Européenne. Nous revendiquons également des politiques publiques en accord avec ce droit et la possibilité matérielle d’y avoir recours.
C’est pour porter ces revendications et montrer notre solidarité aux femmes espagnoles que le Parti de Gauche sera dans la rue en ce 1er Février dans l’ensemble des villes de France où s’organisent des rassemblements.
A Paris, Danielle Simonnet, candidate du Front de gauche aux élections municipales,de même que les tetes de liste des arrondissements seront présents, ainsi que Martine Billard, co-présidente du Parti de Gauche et ex-députée.
- See more at: http://www.lepartidegauche.fr/actualites/communique/soutien-espagnoles-austerite-les-reacs-nuisent-gravement-l-ivg-26711#sthash.pOv67dlU.dpuf